L’envers des îles blanches (2014)

Diapo 1
Diapo 2
 
 
 
 
 
 
 
 

Entre arts visuels, performance et théâtre, l’installation performative L’Envers des îles blanches se présente sous la forme d’un univers onirique où s’agencent images, mots, danse, son, écriture. S’inspirant librement de trois nouvelles du Nobel de littérature colombien Gabriel García Márquez, l’artiste interdisciplinaire Claudia BERNAL nous livre sa vision de La douleur des trois somnambules, La femme qui venait à six heures et Ève à l’intérieur de son chat, en invitant les spectateurs à une déambulation dans des espaces riches en images, où la vie, la mort, la naissance, la putréfaction, le songe et la réalité ne sont qu’une seule et même chose; où le temps et l’espace sont définitivement déréglés. Lors de cette création, l’artiste s’est intéressée particulièrement à l’intégration du texte en tant que matériau plastique dans l’œuvre interdisciplinaire ainsi qu’à la transposition visuelle et sonore du texte.


Installation performative. Sculpture, gravure, vidéo, son, performance. Impressions digitales, miroirs gravés au laser, boîte lumineuse, objets trouvés, gravure sur tissu, objets faits avec des fibres (laine de mouton, cheveux artificiels), cendres.

Conception et réalisation de l’installation : Claudia Bernal
Performance : Claudia Bernal et Dánae Serinet
Adaptation des textes et mise en scène : Claudia Bernal
Conseiller à la dramaturgie : Michel Chapdelaine
Composition électroacoustique et spatialisation sonore : Thierry Gauthier assisté de Julien Denhez et Sebastián Forero
Éclairages : Cédric Delorme-Bouchard
Assistant à la réalisation vidéo : Andrés Salas
Assistant à la production et direction technique : Pierre-Yves Serinet
Photos : Marc-André Goulet

 

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